Soyons vrais : c’est le principe suprême de l’art et de la vie, le secret de l’éloquence et de la vertu, ainsi que de toute autorité morale.

La citation d’Henri Frédéric Amiel, “Soyons vraie: c’est la plus haute maxime d’art et de vie, le secret de l’éloquence et de la vertu, et de toute autorité morale”, reflète sa croyance en l’importance de l’authenticité et de l’authenticité dans les deux arts et la vie. Amiel était un éminent philosophe, poète et critique suisse, mieux connu pour son journal personnel, qui a été publié à titre posthume sous le titre “Journal Inime”.

Amiel est né le 27 septembre 1821 à Genève, en Suisse. Il a étudié le droit, la théologie et la philosophie à l’Université de Genève et est devenu plus tard professeur d’esthétique et l’histoire de la philosophie dans la même institution. Malgré ses réalisations académiques, Amiel a eu du mal avec son propre sens de l’objectif et de l’identité, écrivant souvent sur ses conflits intérieurs et ses contemplations dans son journal.

Ses contributions à la philosophie suisse ont été principalement par le biais de ses écrits introspectifs. Le journal d’Amiel, qu’il a conservé pendant plus de 20 ans, a fourni une exploration profondément personnelle de ses pensées, émotions et observations sur le monde. Il a plongé dans divers thèmes philosophiques, tels que la nature de l’existence, la recherche du sens et la complexité de la moralité humaine. Les réflexions philosophiques d’Amiel ont été influencées par des penseurs comme Immanuel Kant, Arthur Schopenhauer et Friedrich Nietzsche.

Le style d’écriture d’Amiel dans son journal était profondément réfléchissant et introspectif, combinant la prose lyrique avec des idées philosophiques. Son accent sur l’authenticité et la vérité en tant que vertus les plus élevées reflétait sa croyance en l’importance d’aligner ses actions et ses croyances sur leurs convictions les plus internes. Il considérait cette authenticité comme le principe directeur central de l’excellence artistique et de l’autorité morale.

Tout au long de sa vie, Henri Frederic Amiel est resté relativement inconnu en dehors des cercles académiques, et ses œuvres n’ont été publiées que possible. Cependant, son journal a attiré une grande attention et acclamé pour sa profonde introspection et ses réflexions philosophiques. Il a offert une perspective unique dans les luttes intérieures et les contemplations d’un philosophe aux prises avec les complexités de l’existence.

Dans l’ensemble, les contributions d’Aliel à la philosophie en Suisse tournent autour de ses écrits introspectifs, en particulier de son journal personnel. Sa citation souligne la signification d’être fidèle à soi-même, ce qui, selon lui, était fondamentale non seulement dans l’art et la philosophie, mais aussi pour mener une vie vertueuse et faisant autorité.