Ma deuxième tâche ménagère préférée est le repassage. La première étant de me frapper la tête contre le lit superposé supérieur jusqu’à ce que je m’évanouisse.

La citation d’Erma Bombeck sur les tâches ménagères et la frappe sur le lit superposé du haut jusqu’à l’évanouissement est une réflexion humoristique typique sur les aspects banals de la vie quotidienne pour laquelle le journaliste américain était connu. Connue pour son esprit et ses observations relatables, Bombeck est devenu un nom familier dans les années 1960 et 1970 à travers ses colonnes de journaux, ses livres et ses apparitions à la télévision.

Erma Bombeck est née le 21 février 1927 à Bellbrook, Ohio. Bien qu’elle ait initialement suivi un diplôme en anglais, elle a quitté l’université avant d’obtenir son diplôme pour épouser sa chérie du lycée, Bill Bombeck. Elle est devenue une mère au foyer pour leurs trois enfants, mais son désir d’écrire est resté fort.

En 1964, Bombeck a commencé à écrire une chronique d’humour intitulée “at Wit’s End” pour le Dayton Journal Herald. Ses colonnes se sont concentrées sur les défis et les absurdités de la vie suburbaine, en particulier du point de vue d’une mère et d’une femme au foyer. Ses idées humoristiques et relatables ont frappé une corde sensible aux lecteurs à travers l’Amérique, conduisant à la syndication de sa chronique dans plus de 900 journaux.

L’écriture d’Erma Bombeck a résonné avec un large public, et elle est devenue aimée pour sa capacité à trouver de l’humour dans les expériences quotidiennes des femmes. Son style plein d’esprit et satirique a abordé des sujets tels que la parentalité, le mariage, les tâches ménagères et les attentes sociétales. Elle a souvent réfléchi aux luttes et aux joies de la féminité, capturant l’essence de la vie de ses lecteurs.

Outre ses chroniques de journaux, Bombeck a publié de nombreux livres les plus vendus, y compris “The Grass est toujours plus vert sur la fosse septique”, “Si la vie est un bol de cerises, que fais-je dans les stands?” et “La maternité: la deuxième plus ancienne profession”. Ses livres étaient des compilations de ses colonnes et des idées supplémentaires, solidifiant davantage sa réputation d’humoriste et commentateur de la vie américaine.

Les contributions d’Erma Bombeck au journalisme américain ont non seulement diverti des lecteurs, mais aussi ont apporté le rire et le réconfort en période de changement et de bouleversement. Elle a offert une voix aux expériences, aux préoccupations et aux triomphes des femmes de tous les jours, présentant l’universalité de ces expériences partagées. Son humour et sa relatibilité ont fait d’elle une icône littéraire, et son influence se fait toujours ressentir dans les œuvres de nombreuses écrivains contemporains aujourd’hui.

Erma Bombeck est décédée le 22 avril 1996, mais son héritage en tant que journaliste et humoriste américain bien-aimé vit. Sa capacité unique à trouver de l’humour dans le banal et à se connecter avec les lecteurs à un niveau personnel a laissé une marque indélébile sur le journalisme américain, ce qui en fait l’un des écrivains les plus célèbres et les plus influents dans son domaine.