C’est l’inconnu qui excite l’ardeur des chercheurs, qui, dans le connu seul, se dessécheraient d’ennui.

Wallace Stevens, un éminent poète américain du 20e siècle, a apporté des contributions importantes au domaine de la poésie à travers son style unique et ses recherches philosophiques. La citation, “c’est l’inconnu qui excite l’ardeur des chercheurs, qui, dans le seul connu, se rétrécit d’ennui”, reflète sa croyance en la nécessité d’explorer l’inconnu et de repousser les limites de la connaissance.

Stevens est né en Pennsylvanie en 1879 et a poursuivi une carrière réussie en tant que directeur de l’assurance, qui a considérablement influencé sa vision poétique. Sa poésie s’est souvent plongée dans des thèmes abstraits et philosophiques, explorant la relation entre l’imagination, la perception et la réalité. Stevens croyait que la poésie détient le pouvoir de transformer l’ordinaire en quelque chose d’extraordinaire et de dévoilement des profondeurs cachées chez le familier.

Bien que Stevens ait publié un travail relativement petit au cours de son vivant, ses réalisations poétiques étaient très vénérées. Sa première collection, “Harmonium” (1923), a présenté son style distinctif, qui mélangeait un langage riche et musical avec des idées métaphysiques complexes. Stevens a souvent célébré la beauté de la nature et a souligné l’importance de l’imagination pour percevoir le monde. Certains de ses poèmes les plus renommés incluent “l’empereur de la crème glacée” et “Sunday Morning”.

Stevens a reçu des éloges critiques et de nombreux prix pour ses contributions à la poésie. En 1955, il a reçu le prestigieux prix Pulitzer pour sa collection “Collected Poems” (1954). Le travail de Stevens continue de résonner avec les universitaires et les lecteurs en raison de sa nature stimulante et de son utilisation éloquente de la langue. Il a contesté les notions conventionnelles de réalité et a cherché à explorer les mystères qui se trouvent au-delà des générations futures connues et inspirantes de poètes et de savants pour embrasser l’excitation de l’inconnu.