En tant qu’êtres humains, nous regardons les choses et réfléchissons à ce que nous avons regardé. Nous le chérissons dans une sorte de galerie d’art privée.

Thom Gunn, un poète britannique influent, a fait la citation: “En tant qu’humains, nous regardons les choses et réfléchissons à ce que nous avons regardé. Nous le chérisons dans une sorte de galerie d’art privée.” Cette déclaration reflète la conviction de Gunn que les humains ont un instinct profondément enraciné pour observer le monde qui les entoure et contempler la signification de leurs observations. Cela suggère que nous avons tendance à conserver ces expériences, en les stockant dans nos esprits comme des œuvres d’art précieuses dans une galerie personnelle.

Thom Gunn est né le 29 août 1929 à Gravesend, Kent, Angleterre. Il a pris de l’importance dans les années 1950 et 1960 dans le cadre du renouveau de la poésie britannique, un mouvement caractérisé par son départ des formes poétiques traditionnelles et l’exploration de thèmes contemporains. La poésie de Gunn abordait souvent des sujets non conventionnels, tels que l’homosexualité, la culture de la drogue et l’environnement urbain.

L’une de ses œuvres les plus notables est “le sens du mouvement” (1957), qui capture les expériences de Gunn vivant à San Francisco pendant la génération de battements. La collection combine ses expériences personnelles de sous-culture gay avec des thèmes de la transacité, de la dépendance et de la recherche de sens dans un monde en évolution rapide.

Gunn s’est ensuite éloigné de l’adhésion stricte pour se former et a expérimenté divers styles et structures poétiques. Cette évolution est évidente dans sa collection “The Man With Night Sweats” (1992), qui réfléchit à l’épidémie du sida qui a coûté la vie à plusieurs de ses amis. L’exploration poignante et honnête de Gunn de la perte, du chagrin et de la résilience lui a valu des éloges critiques et l’a établi comme une voix importante dans la poésie contemporaine.

Les contributions de Thom Gunn à la poésie britannique ont été reconnues à travers de nombreux prix, notamment le prix avant de la meilleure collection en 1992 et le Lannan Literary Award for Poetry en 1993. Ses œuvres continuent d’être célébrées pour leur beauté lyrique, leur introspection et leur exploration d’expériences marginalisées. Gunn est décédé le 25 avril 2004, laissant derrière lui un ensemble de travaux qui reste pertinent et influent à ce jour.