En tant qu’acteur, les deuxième et derniers étaient intéressants pour moi. Parce que ces parties ont le plus de changement en jouant quelqu’un qui était à la fois clair et sombre, en quelque sorte Jekyl et Hyde.

La citation de Sigourney Weaver fait référence à son expérience en jouant le personnage d’Ellen Ripley dans la série de films “Alien”. Les deuxième et derniers films de la série, à savoir “Aliens” (1986) et “Alien Resurrection” (1997), ont présenté un développement significatif de personnage pour Ripley.

Dans le premier film, “Alien” (1979), Ripley commence comme un personnage fort et sans fioritures, mais les films suivants ont permis à Weaver d’explorer une représentation plus multiforme. “Aliens” voit Ripley retourner sur la planète où elle a rencontré la créature extraterrestre, devenant cette fois une figure maternelle alors qu’elle protège une jeune fille, Newt, au milieu de la bataille chaotique contre la menace extraterrestre. Ici, le personnage de Weaver évolue pour présenter ses instincts protecteurs et stimulants et sa détermination féroce à survivre.

Dans “Alien Resurrection”, Ripley subit une transformation qui brouille les lignes entre la lumière et l’obscurité. L’intrigue tourne autour de Ripley cloné et ressuscité pour extraire l’embryon de la reine extraterrestre qui pousse en elle. La représentation de Weaver explore les complexités de son personnage, car Ripley est aux prises avec son extraterrestre mixte et son ADN humain, possédant à la fois des émotions humaines et des caractéristiques extraterrestres.

Les contributions de Sigourney Weaver au cinéma américain vont au-delà de la franchise “extraterrestre”. Elle s’est établie comme une actrice polyvalente avec un large éventail de rôles. Peut-être que l’une de ses performances les plus emblématiques est celle de Dana Barrett dans la comédie surnaturelle “Ghostbusters” (1984) et sa suite. Elle a également dépeint des personnages complexes dans des films tels que “Gorillas in the Mist” (1988), pour lesquels elle a reçu une nomination aux Oscars, et “Working Girl” (1988), ce qui lui a valu une nomination au Golden Globe.

Le talent de Weaver s’étend au-delà du grand écran, car elle a également fait des apparitions notables dans les séries télévisées et sur scène. Elle a reçu des éloges critiques pour son travail dans des productions telles que la mini-série “Political Animals” (2012) et la pièce de Broadway “Hurlyburly” (1984). Dans l’ensemble, les contributions de Sigourney Weaver à American Aging ont présenté sa capacité à représenter des personnages multiformes et son dévouement à apporter de la profondeur et de la complexité à ses performances.