J’ai toujours été plus effrayé(e) par le fait d’être laissé(e) seul(e) ou exclu(e) que par les choses qui font du bruit la nuit.

Nelson Gidding, un scénariste américain notable, a exprimé sa peur d’être laissé seul ou laissé de côté sur les peurs surnaturelles dans la citation que vous avez fournie. Cette déclaration pointe vers sa peur profonde de l’isolement et de l’exclusion plutôt que d’avoir peur des choses typiques qui provoquent des bosses dans la nuit.

Tout au long de sa carrière, Gidding a apporté des contributions importantes à l’industrie cinématographique américaine en tant que scénariste. L’une de ses œuvres les plus notables est le scénario de “The Haunting” (1963), un film d’horreur psychologique réalisé par Robert Wise. Basé sur le roman de Shirley Jackson, “The Haunting of Hill House”, l’adaptation de Gidding a magnifiquement capturé l’atmosphère anxieuse et claustrophobe tout en se concentrant sur les aspects psychologiques du terrorisme plutôt que de s’appuyer sur des éléments d’horreur typiques.

Le talent de Gidding s’est étendu au-delà du genre d’horreur. Il a également co-écrit le scénario du thriller politique classique “Seven Days in May” (1964), réalisé par John Frankenheimer. Le film, basé sur le roman de Fletcher Knebel et Charles W. Bailey II, plonge dans une conspiration militaire contre le président américain. Le scénario de Gidding a réussi à traduire avec succès l’intrigue tendue et les personnages complexes sur l’écran, ce qui en fait un film acclamé par la critique et à succès commercialement.

En outre, Gidding a collaboré avec le réalisateur acclamé Sidney Lumet sur plusieurs projets, dont “Fail-Safe” (1964), un drame effrayant de la guerre froide et “The Looking Glass War” (1969), un film d’espionnage basé sur le roman de John Le Carré. Sa capacité à adapter la littérature dans des scénarios convaincants était évident dans son travail sur ces projets.

Dans l’ensemble, la citation de Nelson Gidding concernant sa peur d’être laissée seule ou exclue reflète ses angoisses personnelles plutôt qu’une peur des monstres. Cependant, ses contributions à la scénarisation américaine sont importantes et variées, englobant des adaptations d’horreur, de thrillers politiques et de contes d’espionnage. Son habileté à capturer l’essence de différentes œuvres littéraires et à les traduire au grand écran solidifie sa place dans l’histoire de la scénario.