La nature divine a donné les champs, l’art humain a construit les villes.

La citation de Marcus Terentius Varro, le célèbre auteur romain, met en évidence la relation entre la nature et la civilisation humaine. Il proclame que si la nature a fourni les champs, c’est l’œuvre de l’art humain qui a transformé ces domaines en villes. Cette citation souligne l’importance de l’effort humain pour façonner et cultiver l’environnement.

Marcus Terentius Varro était un auteur et érudit romain qui vivait de 116 avant notre ère à 27 avant notre ère. Il était connu pour ses vastes œuvres dans divers domaines, notamment l’agriculture, l’architecture, la langue, la religion et l’histoire. Varro a beaucoup écrit sur les aspects pratiques de l’agriculture, fournissant des informations précieuses sur l’agriculture et la gestion des terres. Son travail “de re rustica” (sur l’agriculture) est considéré comme l’un des traités agricoles les plus complets et les plus influents de l’époque.

En plus de ses contributions à l’agriculture, Varro était également un écrivain prolifique sur un large éventail de sujets. Il a produit de nombreuses œuvres sur l’histoire romaine, notamment les «antiquités de renom RERUM Humanarum et Divinarum» (antiquités des choses humaines et divines). Ce travail étendu couvrait des sujets tels que la linguistique, la théologie, la géographie et l’anthropologie, fournissant une vaste collection de connaissances sur la civilisation romaine ancienne.

Les contributions de Varro à la littérature et aux bourses romaines ont été très appréciées et influentes. Il a joué un rôle important dans la préservation et la diffusion des connaissances sur l’histoire et la culture romaines. Ses œuvres ont également démontré un vif intérêt à comprendre la relation entre le monde naturel et la civilisation humaine.

Dans l’ensemble, Marcus Terentius Varro a fourni des informations précieuses sur divers domaines d’étude, notamment l’agriculture, l’histoire et la culture. Ses œuvres reflètent une profonde appréciation des réalisations de l’art humain, tout en reconnaissant la fondation fournie par la nature divine.