La chose que je déteste le plus dans la comédie, c’est de demander la permission de faire les choses. Ce que tu veux vraiment faire, c’est dire : C’est mon besoin, c’est ce qui va me pousser plus loin, c’est ce qui sera vivant. Je ne dis jamais ‘Ça te dérange si…?’ Je viens simplement et je le fais.

La citation de Lance Henriksen reflète son approche de l’action et son dédain pour avoir demandé la permission de s’exprimer pleinement sur le plan artistique. Il croit qu’il faut faire valoir ses besoins et prendre l’initiative dans ses performances, plutôt que de s’appuyer sur l’approbation ou les conseils des autres. Cet état d’esprit lui permet de donner vie à ses personnages authentiquement et de repousser les limites de son métier sans hésitation.

Lance Henriksen est un acteur américain renommé connu pour ses performances polyvalentes et captivantes. Né en 1940 à New York, Henriksen a commencé sa carrière en tant qu’acteur de scène dans les années 1960 avant de passer au cinéma et à la télévision. Tout au long de sa carrière, il a joué un large éventail de personnages, passant de rôles héroïques à sinistres.

Le rôle de révolution d’Henriksen est survenu dans le film de science-fiction de 1986 “Aliens”, réalisé par James Cameron, où il a dépeint l’évêque Android stoïque et ingénieux. Cette performance emblématique lui a valu des éloges critiques et l’a catapulté à la reconnaissance internationale. Il reprendrait plus tard son rôle d’évêque dans les versements de franchise “Alien” ultérieurs.

Alors que Henriksen est apparu dans de nombreux films dans divers genres, il est peut-être mieux connu pour son travail dans le genre d’horreur. Sa représentation effrayante du tueur en série et chef de culte Charles Manson dans le téléfilm “Helter Skelter” de 1976 lui a remporté une nomination aux Emmy Award. Il a continué à s’établir comme une formidable présence dans des films d’horreur avec des rôles dans “Pumpkinhead” (1988) et le “Near Dark” (1987), où il a joué un vampire vicieux.

Outre ses rôles de cinéma, Henriksen a également apporté une contribution substantielle à la télévision américaine. Il a dépeint le profileur du FBI Frank Black dans la série acclamée par la critique “Millennium” (1996-1999), créé par Chris Carter, le cerveau derrière “The X-Files”. La représentation par Henriksen d’un enquêteur tourmenté lui a valu une nomination au Golden Globe et a solidifié sa réputation d’acteur polyvalent.

Tout au long de sa carrière, Lance Henriksen est restée dédiée à son métier, ne voulant pas demander la permission mais à la place de l’avenir avec son approche unique de l’action. Ses contributions au cinéma et à la télévision américaines ont laissé une marque indélébile, ce qui lui a valu une place respectée dans le monde d’agir.