Si, d’un côté, nous ne nourrissons pas l’illusion que l’ensemble du prolétariat doit être éclairé avant de pouvoir être appelé au combat, de l’autre côté, nous ne doutons pas que le maximum d’éclairage possible doit être produit grâce à l’agitation orale et écrite.

Johann Most, une figure éminente du mouvement révolutionnaire allemand, a fait cette déclaration pour souligner l’importance de l’éducation et de l’action dans la lutte pour la libération prolétarienne. Il a reconnu la nécessité de mobiliser la classe ouvrière et a cru que même si tous les travailleurs ne devaient pas être pleinement éclairés avant de rejoindre le combat, il est crucial de diffuser autant de connaissances et de conscience que possible par l’agitation orale et imprimée.

Johann Most est née le 5 février 1846 à Augsbourg, en Allemagne. Il s’est impliqué dans la politique radicale dès son jeune âge et a rapidement émergé comme un penseur socialiste et anarchiste de premier plan. Les contributions de la plupart au mouvement révolutionnaire allemand ont été importantes. Il était un propagandiste influent, utilisant ses compétences en tant qu’écrivain et orateur pour agiter et mobiliser la classe ouvrière contre l’exploitation capitaliste et les systèmes oppressifs.

La plupart étaient un critique vocal de l’État et croyaient en l’utilisation de la violence comme moyen d’atteindre des objectifs révolutionnaires. Son œuvre la plus célèbre, intitulée «La science de la guerre révolutionnaire», a plaidé pour l’utilisation du terrorisme comme outil pour déstabiliser et renverser les gouvernements bourgeois. Cette publication a eu un impact profond sur les mouvements révolutionnaires de l’époque.

Malgré son implication dans plusieurs actes de violence, notamment la fabrication de bombes et les attaques incendiaires, la plupart ont réussi à échapper à l’emprisonnement pendant la majeure partie de sa vie. Cependant, ses enseignements controversés et son plaidoyer pour une action violente l’ont régulièrement amené en conflit avec les autorités.

En plus de ses écrits et de l’activisme politique, la plupart ont joué un rôle clé dans le Parti social-démocrate allemand (SDP). Il était un membre actif et rédacteur en chef de divers journaux socialistes, tels que le “Freiheit” et le “socialiste”, qu’il a utilisé comme plateformes pour diffuser ses idées révolutionnaires.

La position sans compromis de la plupart sur la révolution et son soutien aux tactiques violentes l’ont maintenu à l’avant-garde du mouvement révolutionnaire allemand. Il a continué à inspirer et à mobiliser les travailleurs jusqu’à sa mort le 17 mars 1906, laissant derrière lui un héritage de pensée et d’action radicales qui ont contribué de manière significative au discours révolutionnaire en Allemagne.