Malheureusement, les médias, qui ne sont pas du tout réticents à agir dans leur propre intérêt, ont réussi à assimiler la réforme dans l’esprit du public à de nouvelles restrictions sur la liberté d’expression politique de presque tout le monde.

La citation de James L. Buckley met en évidence sa préoccupation concernant l’influence des médias sur la perception du public de la réforme politique et de la liberté d’expression. Il affirme que les médias, motivés par l’intérêt personnel, ont réussi à associer la réforme à des limites accrues de l’expression politique pour tous les individus. Cette déclaration suggère que les médias ont réussi à convaincre le public que les efforts de réforme restreignent finalement leur propre liberté de discours politique.

James L. Buckley, né le 9 mars 1923 à New York, est un éminent politicien américain et intellectuel conservateur. Il a commencé sa carrière politique en tant que sénateur américain représentant New York de 1971 à 1977. Buckley était affilié au Parti conservateur de New York, et son élection au Sénat a marqué la première fois en plus de 50 ans qu’un tiers Le candidat a remporté un siège au Sénat américain.

Au cours de son mandat au Sénat, Buckley s’est imposé comme un défenseur dévoué du gouvernement limité, de la liberté individuelle et des principes de marché libre. Il a toujours voté contre les dépenses excessives et a plaidé pour une réduction de la participation fédérale dans divers domaines politiques. Le conservatisme budgétaire de Buckley est aligné sur le mouvement conservateur émergent dans les années 1970.

Après avoir quitté le Sénat, Buckley a continué à contribuer à la politique américaine et à la politique publique. Il a cofondé le groupe de réflexion conservateur, le National Review Institute, en 1991, et a été son président jusqu’en 2004.

Tout au long de sa carrière, James L. Buckley a été un critique vocal de la dépassement du gouvernement et de l’érosion des libertés individuelles. Il a défendu la protection de la liberté d’expression et a exprimé ses préoccupations concernant l’influence des médias sur la perception du public. Sa citation implique que les médias, motivés par leurs propres intérêts, ont réussi à façonner les croyances du public concernant les limites imposées au discours politique à travers l’objectif des efforts de réforme.