Je ne fume plus de marijuana. Je ne bois pas. La marijuana est un handicap. L’alcool aussi. L’alcool est un handicap terrible. Mais malgré le handicap, cela ne devrait pas être criminalisé.

La citation de Gary Johnson illustre sa position sur la criminalisation de la marijuana et de l’alcool malgré la reconnaissance de leurs effets négatifs potentiels. Gary Johnson est un politicien américain bien connu qui a été le 29e gouverneur du Nouveau-Mexique de 1995 à 2003. Il s’est ensuite présenté à la présidence en 2012 et 2016 en tant que candidat au Parti libertaire.

Tout au long de sa carrière politique, Johnson a été un défenseur vocal de la réforme de la politique des drogues, en particulier en ce qui concerne la marijuana. Il a exprimé son expérience personnelle de s’abstenir de la marijuana et de l’alcool, les considérant les handicaps en raison de leurs effets potentiels. Cependant, il pense que la criminalisation de ces substances n’est pas la solution pour faire face à leurs dommages potentiels.

Johnson a été un solide partisan de la liberté individuelle et de l’intervention du gouvernement limité. Dans le contexte de la politique de drogue, il a soutenu que la criminalisation de la marijuana et de l’alcool conduit à un gaspillage de ressources, à des prisons surpeuplées et à un fardeau important pour le système judiciaire. Au lieu de cela, il soutient une approche plus rationnelle et compatissante telle que la décriminalisation ou la légalisation, combinée à des mesures d’éducation et de réduction des méfaits.

Bien que le point de vue de Johnson sur la politique de drogue ait fait de lui une figure importante du mouvement de légalisation, il a également travaillé sur divers autres questions. En tant que gouverneur du Nouveau-Mexique, il a priorisé la responsabilité budgétaire, opposant son veto à plus de 700 projets de loi pour réduire les dépenses publiques et équilibrer le budget de l’État. Il a mis en œuvre des politiques pour améliorer l’éducation, revitaliser l’économie et préconisé pour la réforme de la justice pénale.

Dans l’ensemble, les contributions de Gary Johnson à la politique américaine se sont concentrées sur son idéologie libertaire, plaidant pour la liberté personnelle, la responsabilité individuelle et la participation limitée du gouvernement.