Non ! Sur les droits de l’homme et la liberté, sur un sujet aussi évident que le fait que deux et deux font quatre, il n’est besoin d’aucune autorité écrite.

Ernestine L. Rose, une activiste polonaise renommée, a fait la déclaration “Non! Sur les droits de l’homme et la liberté, sur un sujet aussi évident que les deux et deux en font quatre, il n’y a pas besoin d’une autorité écrite.” Cette citation reflète la forte croyance de Rose dans la nature inhérente des droits de l’homme et de la liberté, affirmant qu’ils ne nécessitent pas de validation externe ou d’autorité écrite pour être reconnue et confirmée. Ses paroles mettent l’accent sur l’universalité de ces principes, déclarant qu’ils sont évidents et universellement compris, comme la simple égalité arithmétique de deux et deux en faisant quatre.

Ernestine L. Rose était une figure de premier plan des droits des femmes du XIXe siècle et des mouvements abolitionnistes. Née en 1810 à Piotrków Trybunalski, en Pologne, elle a grandi dans une famille juive et a été exposée à l’oppression culturelle et religieuse très tôt. Rose a émigré aux États-Unis en 1836, où elle est devenue activement impliquée dans la défense de l’égalité des droits et de la justice sociale.

Rose était un orateur éloquent et un fervent partisan du suffrage des femmes, arguant que l’égalité des sexes était un droit humain fondamental. Elle a abordé divers forums publics, travaillant constamment à l’élimination de la discrimination fondée sur le sexe et à la promotion de l’éducation des femmes et de l’indépendance économique. Rose était une féministe radicale pour son temps, remettant en question les normes sociétales et luttant contre l’idée dominante que les femmes étaient inférieures aux hommes.

De plus, Rose était un ardent abolitionniste, s’opposant avec véhémence à l’esclavage et à la discrimination raciale. Elle a cofondé l’American Anti-Slavery Society et s’est tenue aux côtés de personnages influents comme Frederick Douglass et Lucretia Coffin Mott pour plaider pour l’émancipation des individus asservis.

Les contributions d’Ernestine L. Rose à l’activisme en Pologne étaient également significatives. Elle a maintenu le contact avec des exilés politiques polonais aux États-Unis, soutenant leurs difficultés à l’indépendance et à l’autodétermination. Rose a travaillé sans relâche pour attirer l’attention sur la situation politique de la Pologne, en utilisant sa plate-forme pour sensibiliser à la nécessité d’une liberté polonaise.

La poursuite de la justice et de l’égalité de Rose s’étendait au-delà de son activisme. En tant qu’avocate, elle a établi une pratique réussie spécialisée dans les droits de propriété, le divorce et les questions juridiques des femmes. Sa détermination à remettre en question les lois discriminatoires et à défendre les droits des personnes marginalisées a laissé un impact durable sur le paysage juridique.

Dans l’ensemble, Ernestine L. Rose était un activiste intrépide et percutant, consacré à la lutte pour les droits des femmes, de l’abolition et de la liberté polonaise. Sa citation sur les droits de l’homme et la liberté souligne sa croyance inébranlable en leur nature innée, quelle que soit l’autorité écrite, et inspire la réflexion sur les principes universels qui devraient guider les sociétés.