Quel gâchis de perdre son esprit. Ou ne pas avoir d’esprit est vraiment gaspilleur. Comme c’est vrai.

Le contexte de cette citation de Dan Quayle n’est pas explicitement fourni, mais il semble refléter sa croyance en l’importance de la capacité mentale et de l’intelligence. Cela implique que perdre ou ne pas avoir d’esprit est un déchet important, ce qui suggère que les capacités intellectuelles sont des actifs précieux. Cependant, il convient de noter que Dan Quayle a été connu pour faire des gaffes occasionnelles ou des faux pas verbaux, ce qui aurait pu influencer sa déclaration.

Dan Quayle, né le 4 février 1947 à Indianapolis, Indiana, a été le 44e vice-président des États-Unis sous le président George H.W. Bush de 1989 à 1993. Il est entré en politique en tant que représentant à la Chambre des représentants des États-Unis de 1977 à 1981 et plus tard en tant que sénateur de 1981 à 1989, représentant l’Indiana.

Au cours de son mandat en tant que vice-président, Quayle n’a pas laissé un impact durable ou un héritage de réalisations politiques importantes. Il était souvent sous contrôle pour ses capacités de parole en public et ses glissements verbaux occasionnels qui ont conduit à une perception de lui comme étant moins capable que ses pairs. Ces gaffes ont endommagé sa crédibilité et en ont fait une cible des critiques des médias.

Malgré ces difficultés, Dan Quayle a eu des rôles notables lors de sa vice-présidence, notamment en tant que président du Conseil de compétitivité, où il s’est concentré sur la promotion de la compétitivité commerciale américaine à l’échelle mondiale. De plus, Quayle a été impliqué dans les efforts pour rationaliser la bureaucratie du gouvernement fédéral et améliorer l’éducation, avec son «discours de Murphy Brown» notable, portant sur l’importance des valeurs familiales dans la société américaine.

Bien que la vice-présidence de Dan Quayle n’ait peut-être pas été caractérisée par des réalisations politiques importantes, ses contributions étaient principalement centrées sur le soutien du président George H.W. L’ordre du jour de Bush et représentant les États-Unis à la fois au niveau national et international. Sa remarque sur la valeur d’avoir un esprit reflète sa croyance en la capacité intellectuelle, bien qu’on se souvienne souvent de ses faux pas verbaux occasionnels.