Ils ne peuvent pas le faire dire ce qu’ils veulent qu’il dise. Et c’est le début et la fin de l’affaire pour conserver l’ancienne langue : Si les églises l’abandonnent, qui se souviendra comment dire ce qui est dit ?

Clifford Longley, un journaliste britannique renommé, a fait la déclaration dans le contexte de la préservation de l’ancienne langue utilisée dans les églises. Sa citation suggère que si les églises abandonnent l’ancienne langue, il y aurait une perte de la manière traditionnelle de communiquer les enseignements religieux. Longley implique que la familiarité et la signification historique de l’ancienne langue seraient oubliées s’ils n’étaient pas confirmés par les institutions religieuses.

Clifford Longley a contribué de manière significative au journalisme en Grande-Bretagne, en particulier dans le domaine des affaires religieuses. Il est connu pour son expertise en matière religieuse et a largement écrit sur des sujets liés au christianisme, au dialogue interconfessionnel, à l’éthique et à la spiritualité. Longley a travaillé pour divers médias réputés, notamment le Times, The Independent et The Tablet, un journal catholique où il a été correspondant des affaires religieuses pendant de nombreuses années.

Tout au long de sa carrière, Longley a fourni des commentaires et des analyses perspicaces sur les questions religieuses, explorant l’intersection de la religion avec la société et la politique. Ses écrits visent souvent à promouvoir la compréhension et le dialogue constructif entre les différentes traditions de la foi. Le travail de Longley a fait de lui une figure respectée dans le domaine du journalisme religieux, et il continue de contribuer des idées stimulantes sur les questions de foi et de spiritualité.