La publicité est un grand purificateur car elle met en action les forces de l’opinion publique, et dans ce pays, l’opinion publique contrôle les orientations de la nation.

Charles Evans Hughes, un éminent juriste et politicien américain, a fait la déclaration “La publicité est un grand purificateur car elle met en action les forces de l’opinion publique, et dans ce pays, l’opinion publique contrôle les cours de la nation”. Cette citation capture la croyance de Hughes dans le pouvoir de l’opinion publique dans la formation du cours de la nation.

Hughes a été juge associé de la Cour suprême des États-Unis de 1910 à 1916 et en tant que juge en chef de 1930 à 1941. Ses contributions à la jurisprudence américaine étaient substantielles, car il a activement façonné des précédents juridiques et interprété la Constitution à une époque de Changement social et économique important. Il a notamment joué un rôle clé dans les décisions de la Cour sur les questions de travail, notamment le cas d’Adkins c. Children’s Hospital en 1923, où il s’est dissident contre la décision de la majorité selon laquelle la législation sur le salaire minimum pour les femmes a violé la clause de procédure régulière. Hughes a fait valoir que la constitutionnalité de ces lois devrait être déterminée sur la base d’un test de base raisonnable, qui a considérablement influencé les litiges futurs dans ce domaine.

De plus, Hughes a été impliqué dans l’affaire historique de Schechter Poultry Corp. c. États-Unis en 1935, où il a écrit l’opinion unanime a renversé la National Industrial Recovery Act. Cette décision a réduit le dépassement du gouvernement fédéral dans la réglementation des pratiques commerciales, établissant le principe selon lequel le Congrès ne peut pas déléguer des pouvoirs législatifs à la branche exécutive sans normes appropriées.

Tout au long de son mandat en tant que juge, Charles Evans Hughes a démontré un engagement à préserver les libertés individuelles et à assurer l’équilibre des pouvoirs entre les branches du gouvernement. Sa croyance dans le pouvoir de l’opinion publique s’aligne sur son dévouement de carrière à maintenir les droits protégés constitutionnellement des citoyens.