Nos agriculteurs de l’Australie du Sud ont laissé leurs avoirs entre les mains de leurs femmes et enfants trop jeunes pour emporter avec eux, mais presque tous sont revenus pour cultiver des céréales et produire pour envoyer à Victoria.

La citation de Catherine Helen Spence reflète la période de l’histoire de l’Australie du Sud lorsque de nombreux agriculteurs ont quitté leurs propriétés pendant la ruée vers l’or victorien au milieu des années 1800. Les agriculteurs de l’Australie du Sud, qui comptaient généralement sur leur céréale et produisent des revenus, confié leurs avoirs à leurs femmes et à leurs jeunes enfants pendant qu’ils se rendent à Victoria à la recherche d’or.

Catherine Helen Spence était un auteur de premier plan, réformateur social et défenseur des droits des femmes en Australie au 19e siècle. Elle est née en Écosse en 1825 et a émigré en Australie du Sud avec sa famille alors qu’elle n’avait que 13 ans. Spence a commencé sa carrière d’écrivain en Australie du Sud, contribuant à des articles et des histoires aux journaux et magazines locaux.

Tout au long de sa vie, Catherine Helen Spence est devenue connue pour s’attaquer aux questions sociétales à travers ses écrits. Elle a plaidé pour le suffrage des femmes, la réforme de l’éducation et l’amélioration du bien-être des moins fortunés. Dans ses écrits, elle a souligné le rôle important joué par les femmes et les enfants dans le maintien de la stabilité de leurs ménages et de leurs communautés.

Les contributions de Spence à la littérature australienne sont importantes. Elle a été la première femme d’origine australienne à publier des romans sous son propre nom. Son roman “Clara Morison: A Tale of South Australia pendant la fièvre de l’or” (1854) a abordé les défis auxquels sont confrontés les agriculteurs d’Australie du Sud pendant la ruée vers l’or. De plus, ses œuvres telles que «rassemblées» (1881) et «M. Hogarth’s Will» (1865) ont exploré les problèmes sociaux et ont souligné la nécessité d’une réforme sociale.

Dans l’ensemble, Catherine Helen Spence a apporté une contribution importante à la littérature australienne et à la réforme sociale. Ses écrits ont fourni des commentaires perspicaces sur les expériences des agriculteurs de l’Australie du Sud pendant la ruée vers l’or tout en plaidant pour les droits et le bien-être des femmes et des enfants.