Le baseball doit être un formidable jeu pour survivre aux idiots qui le dirigent.

Bill Terry, un athlète américain renommé, a prononcé les mots “Le baseball doit être un grand jeu pour survivre aux imbéciles qui le dirigent”. Cette citation reflète le mécontentement de Terry avec les administrateurs et les décideurs régissant le sport du baseball. Tout au long de sa carrière, Terry a observé divers cas de mauvaise gestion et de prise de décision douteuse dans le sport, ce qui l’a amené à exprimer sa frustration.

Bill Terry était un joueur de baseball très accompli, principalement connu pour son mandat avec les Giants de New York dans les années 1920 et 1930. Il était un joueur de premier but gaucher, estimé pour ses compétences exceptionnelles sur le terrain et sa moyenne au bâton solide. Terry a joué un rôle important dans le succès des Giants, contribuant à leurs victoires dans trois fanions de la Ligue nationale et leur triomphe des World Series en 1933.

Repreint en tant que joueur en 1936, Terry est passé à un rôle de gestion pour les Giants, où il a continué à apporter des contributions notables à l’athlétisme américain. Sous sa direction, les Giants ont décroché deux autres fanions de la Ligue nationale en 1936 et 1937. L’approche de Terry en tant que manager a été marquée par la discipline, l’attention aux détails et l’accent mis sur le développement d’une solide chimie d’équipe, qui a propulsé les Giants au succès pendant son mandat .

Malgré ses réalisations en tant que joueur et manager, il est évident d’après la citation de Terry selon laquelle il a nourri les frustrations avec les organes directeurs du baseball. Ce sentiment est partagé par de nombreuses personnalités sportives qui ont été témoins ou ont connu une mauvaise gestion dans leurs sports respectifs. La remarque de Terry souligne sa conviction qu’en dépit des décisions et des actions douteuses des responsables, les qualités inhérentes du jeu de baseball – son charme, son histoire et son attrait durable – lui permettent de persister et de prospérer malgré l’incompétence de ses administrateurs.