Comment un acte accompli sous contrainte peut-il contenir un élément moral, alors que ce qui est moral est l’acte libre d’un être intelligent ?

La citation d’Auberon Herbert reflète son point de vue sur la moralité et le libre arbitre. Auberon Herbert était un éminent philosophe britannique et théoricien politique qui a vécu de 1838 à 1906. Il était connu pour son solide plaidoyer pour l’individualisme, le gouvernement limité et la liberté personnelle.

Dans le contexte de la citation, Herbert soutient qu’un acte accompli sous contrainte, où un individu est obligé d’agir contre leur volonté, n’a pas l’élément moral généralement associé à des actions volontaires. Selon lui, la vraie moralité découle du libre arbitre d’un être intelligent, suggérant qu’un individu doit avoir la capacité de faire des choix en fonction de son propre raisonnement et de ses principes.

Les contributions d’Auberon Herbert à la philosophie tournaient principalement autour du libéralisme classique et du concept de volontaire. Il croyait fermement aux principes de la liberté individuelle et de l’intervention du gouvernement limité. Herbert a critiqué l’idée que l’État ait un pouvoir et des interférences excessifs dans la vie des individus, affirmant que la coopération volontaire et la libre concurrence sur le marché conduiraient à une société plus juste et prospère.

Ses œuvres, comme «le droit et le mal de contrainte de l’État» et «un plaidoyer pour le volontaire», ont contesté la sagesse conventionnelle de son temps et plaidé pour l’importance des droits individuels, du libre-échange et des interactions non coercitives entre les individus entre les individus . Les idées d’Herbert ont influencé le développement de la pensée libérale classique en Grande-Bretagne, et il est devenu une figure notable parmi l’élite intellectuelle de la fin du XIXe siècle.

En résumé, la citation d’Auberon Herbert reflète sa conviction que la vraie moralité est dérivée des actions librement choisies des êtres intelligents, tandis que les actes accomplis sous la contrainte n’ont pas l’élément moral. Les contributions de Herbert à la philosophie britannique ont tourné autour de son plaidoyer pour l’individualisme, le gouvernement limité et la liberté personnelle. Ses œuvres ont contesté les idéologies dominantes de son temps et ont influencé le développement de la pensée libérale classique en Grande-Bretagne.