Nous, dans notre province, commençons à réaliser et à apprécier que notre lenteur à suivre le rythme de nos voisins nord-américains a peut-être été une bénédiction déguisée.

La citation d’Alex Campbell, un célèbre politicien canadien, suggère que la lenteur de sa province, qui n’est pas spécifiée, en suivant ses voisins nord-américains, peut-être avantageux. Sans autre contexte, il est difficile de déterminer la signification exacte de la citation. Cependant, cela implique que le rythme plus lent de la province lui a permis d’éviter certaines conséquences négatives ou de profiter de certaines opportunités que ses voisins plus rapides auraient pu manquer.

Alex Campbell, né en 1933, était une figure éminente de la politique canadienne, en particulier en Nouvelle-Écosse. Il a été le premier ministre de la Nouvelle-Écosse de 1978 à 1990, faisant de lui le premier ministre le plus ancien de l’histoire de la province. Campbell appartenait au Parti progressiste conservateur et était connu pour son accent sur le développement économique et sa capacité à naviguer dans l’évolution du climat politique.

Au cours de son mandat, Campbell a introduit diverses initiatives pour promouvoir la croissance économique et attirer des investissements en Nouvelle-Écosse. Il a souligné l’importance de l’expansion des industries telles que l’exploitation minière, le pétrole offshore et le développement du gaz naturel. Campbell a également soutenu le développement du tourisme et promu la province comme une destination souhaitable.

En outre, Campbell s’est engagé à améliorer l’éducation et les soins de santé en Nouvelle-Écosse. Il a plaidé pour des normes plus élevées dans l’éducation et a lancé des réformes pour améliorer la qualité des services de santé. Son gouvernement a également travaillé à la modernisation des infrastructures et à l’amélioration de la connectivité des transports au sein de la province.

En termes de réalisations politiques, Campbell a conduit avec succès son parti à remporter trois élections consécutives, à partir de 1978. Il a considérablement influencé le paysage politique de la Nouvelle-Écosse et a laissé un impact durable sur l’économie et les services publics de la province.