La citation d’Alden Nowlan, “être étranger n’est pas une maladie”, reflète ses réflexions sur l’expérience d’être un étranger ou un non-natif dans un endroit particulier. Nowlan était un poète canadien qui a souvent écrit sur ses luttes et ses expériences personnelles, s’inspirant de son éducation rurale en Nouvelle-Écosse. Il pensait qu’être étranger ne devrait pas être perçu négativement, mais plutôt comme une opportunité d’adopter différentes cultures et perspectives.

Alden Nowlan est né le 25 janvier 1933 à Windsor, en Nouvelle-Écosse. Ayant grandi dans une famille ouvrière, il a fait face à divers défis tels que la pauvreté et une relation difficile avec son père. Nowlan a abandonné le lycée et a travaillé plusieurs petits boulots avant de découvrir sa passion pour l’écriture. Malgré son manque d’éducation formelle, il est devenu une figure éminente de la littérature canadienne.

La poésie de Nowlan se concentrait souvent sur les thèmes de l’injustice sociale, des luttes personnelles et de la complexité des émotions humaines. Il a utilisé son écriture pour exprimer ses propres expériences et faire la lumière sur la vie des gens ordinaires. Ses œuvres étaient connues pour leur accessibilité et leur authenticité, résonnant souvent avec les lecteurs d’horizons divers. Nowlan a publié de nombreuses collections de poésie, notamment “Bread, Wine, and Salt” (1967) et “Selected Poems” (1966). Certains de ses poèmes les plus renommés incluent “Warren Pryor” et “The Bull Moose”.

Alden Nowlan a reçu plusieurs distinctions pour ses contributions à la poésie canadienne. Il a remporté plusieurs prix, notamment le prix du gouverneur général pour la poésie en 1967 et la bourse Guggenheim en 1968. NowLan, le style unique et la représentation honnête des expériences humaines continuent de résonner avec les lecteurs, ce qui en fait une figure influente dans la littérature canadienne.